TRENT INDIANA DANJEL STOYANOVICH

nom, prénom(s) : stoyanovich, d'ailleurs très souvent raccourci en stoy, si bien que certaines personnes ne connaissent pas son vrai nom, trent est un prénom en hommage à son arrière grand-père maternel, décédé quelques jours avant sa venue au monde, il devait s'appeler initialement jonah, son deuxième prénom est un tantinet plus original puisque l'adoration de son paternel pour harrison ford lui a valu ce dernier, indiana, enfin sa dernière appellation est Danjel, vestige du passé de son père sur les terres de l'europe de l'est. Ϟ date et lieu de naissance : le 19 mai 1982 à el paso, texas. 29 ans. Ϟ profession/études :Trent est addict des sensations fortes, et par extension il s'est lancé dans les cascades - pour le cinéma notamment - quand il ne fait pas des compétions de sports extrêmes. Ϟ pays d'origine, nationalité : fils d'une américaine métisse et d'un émigré serbe, Trent possède la double nationalité serbo-américaine. avatar : ian somerhalder voix du perso : ben harper (listening)

prénom/pseudo : sevenways Ϟ âge : 17 yo. Ϟ où avez-vous dégoté le forum ? bazzart. Ϟ un avis à donner dessus ? il déchire ! franchement c'est un coup de cœur. Ϟ

I'M JUST A DREAMER

· QUEL STYLE DE MUSIQUE PRÉFÈRES-TU ? :
le rock. le jazz. la pop. le folk.

· LORSQUE TU AS DU TEMPS LIBRE, QUE FAIS-TU ? :
je file voir mes amis. je travaille ma voix. je dors. je geek.

· QUELLE EST TON IDOLE ? :
bob marley. madonna. les beatles. ma mère.

· SI TU DEVAIS PARTIR SUR UNE ILE, QU'AMÈNERAIS-TU ? :
mon gps. ma guitare. un ou deux amis. je me suffis à moi même.

· QUEL EST POUR TOI LA PIRE CHOSE QU'UNE STAR PUISSE FAIRE ? :
frapper un caméraman. sombrer dans l'alcool. se raser la tête. avoir un enfant.

· COMMENT TE SENS-TU LORSQUE TU CHANTES ? :
stressé. naturel. euh... débordant d'énergie.

· QU'AIMERAIS-TU FAIRE APRÈS L'ÉMISSION ? :
chanter dans un groupe. me lancer dans une carrière solo. jouer dans des comédies musicales. me consacrer aux associations caritatives.

· QUE REPRÉSENTE THE ENTERTAINER POUR TOI ? :
un tremplin. ma dernière chance. une occasion comme une autre. une aventure inédite.

· POURQUOI TOI ET PAS UN AUTRE ? :
ma maman m'a toujours dit que j'étais exceptionnel. euh... bonne question. j'ai le truc en plus. et pourquoi pas ?

· SI TU VENAIS A GAGNER UN GRAMMY, QUI REMERCIERAIS-TU EN PREMIER ? :
le public. la production. personne, j'allais l'avoir de toute façon. mes amis, ma famille.

· La musique, à tes yeux.
la musique c'était la passion de ma mère à la base, elle dont le folk et les premiers accents du rock avaient bercés son enfance. elle m'a offert ma première guitare à l'âge de huit ans, et mon intérêt s'est amplifié. ce son, cet aria, c'était fait pour moi, pour me libérer autrement que par le risque et le danger. la musique c'est le calme dans ma vie de pilote, mon ailleurs. je traîne ma gibson depuis le lycée, elle a connu plus de fils en nylon que n'importe quelle guitare, mais c'est celle dont je joue le mieux, j'aime le pincement de ces cordes-là et la mélodie particulière qui en ressort. le chant c'est venu beaucoup plus tard, quand j'ai eu besoin de mettre des mots sur mes accords. la musique est à la fois ce lien indissociable avec ma génitrice et ma passion, à l'égal du risque.
· Ton inscription à cette émission, des détails dessus ?
je n'ai jamais eu l'intention de m'inscrire à cette émission, pour être honnête je ne savais même pas en quoi elle consistait avant d'y être accepté. c'est ma petite amie de l'époque qui m'a inscrite. saoirse avait une étrange foi en mon talent, et elle voulait surtout que je m'engage sur une autre voix que celle du supercross et des cascades. elle est décédée avant même de m'en parler, imaginez ma surprise quand ce type est venu toquer chez moi. j'ai accepté, pour elle, ultime hommage que je puisse lui rendre.

INTRODUCTION À TRENT STOYANOVICH

Puisqu'il nous faut à présent définir Trent, on laissera transparaître le côté machisme et superficiel qu’il semble représenter. Un grand brun, charismatique à la beauté sans pareille et à l’allure séductrice, renforcée par une vieille veste de cuir noire semblant venir des premiers âges du rock et composant indispensable de sa tenue. Son parfum mêle sadisme et passion. Sa démarche élégante invite à la luxure. Ses traits trop bien dessinés et son visage parfait donnent l’illusion d’une statue de cire. De profil, on n’aperçoit pas la partie haute de son visage, masquée par un nombre incalculable de mèches en pagaille, à l’arrière de son crâne, ses cheveux s’entremêlent, coiffure négligée, ébouriffée à la sortie de la douche. Ses yeux clairs paraissent vides d’expressions au premier abord, mais en l'observant plus intensément on peut y reconnaître cette lueur d'arrogance et de détermination, lueur aux accents de colère et de ruse. Un sale petit con prétentieux. Voilà donc ce qu'on pense de lui lorsque qu'on le rencontre la première fois, et ceux qui le pensent n'ont pas totalement tort ! Méprise des règles, accro aux sensations fortes, à l'adrénaline, aux drogues, il met sa vie en danger pour faire battre son sang dans ses veines à la manière d'un torrent de lave. Stoy se révèle être un excellent rhétoricien. Il éprouve un malin plaisir à faire souffrir une personne qu'il n'apprécie pas. Contradictoire, il peut se révéler doux et attentionné. Il peut même se montrer attachant mais peu de personnes sont parvenues à briser la carapace qu'il s'est forgé au fils des années. Amoureux de la vie, masquant son courage et ces fortes ressemblances avec son paternel - altruisme, gentillesse, fidélité - on peut dire que Trent porte un masque, et s'il venait à tomber ce n'est pas le regard des autres que craint le jeune homme mais bel et bien son propre reflet dans le miroir.

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« tu sais que c'est une très mauvaise idée ? » que me lance Saoirse d'un air décomposé, jetant un coup d'œil à la piste en contrebas. Je lui lance un grand sourire. « je t'en prie, je n'risques rien. » « tu veux dire à part te briser la nuque ? » je me marre devant son teint livide, elle s'inquiète mais je ne me laisse pas gagner par son trouble, autrement je suis presque certain de tomber et de réellement me faire mal. Pas que je sois à l'abri des blessures, ou de bien pire, mais c'est justement l'intérêt non ? On ne peut pas se lancer dans quelque course de supercross sans avoir soif d'adrénaline, sans avoir le danger et la mort aux trousses. Je sors une main de mes poches et saisit la sienne, déposant un baiser sur sa joue. Elle me regarde, et dans la lueur de ses yeux noirs je vois bien la supplique qu'elle m'intime, je ressens ses doutes et la crainte qui l'enserre, elle se retient de me hurler de ne pas y aller. « ça fait des années que je m'entraîne, et on ne meurt pas d'une chute sur ce genre de terrain, je t'assure. » mes paroles n'ont pas beaucoup d'effets puisqu'elle défait brusquement ses doigts des miens. Elle fait les cent pas devant moi, se prenant la tête entre ses paumes, pestiférant dans sa langue natale avant de se retourner vers moi, les larmes au bord des yeux. « je ne veux plus que tu cours, je ne veux plus que tu fasses ces stupides figures ni te voir sur un de ces putains de circuits, j'en ai assez de me demander si tu vas revenir vivant d'une de tes acrobaties ... je suis enceinte Trent, et je ne veux pas que notre enfant grandisse sans père. » Je reste interdit devant la nouvelle, immobile, sous le choc, comme si je venais de me prendre une claque monumentale. Je déglutis. Elle sait pourtant, elle sait que j'ai besoin de courir, que je ne peux pas me passer du bruit des moteurs ni de la sensation vivifiante que peut-être celle de flirter avec l'au delà. Je ferme les yeux quelques instants, je l'entends qui murmure mon prénom, attendant visiblement une réponse à mon silence prolongé. Un enfant ? Je ne supporte pas les enfants, je suis un enfant moi-même, je ne suis pas fait pour être père, je suis impatient, caractériel et immature. « je peux pas Saoirse, je peux pas. » et je ne veux pas d'enfants, je n'en ai jamais voulu. Ses lèvres tremblent, je tourne les talons, descendant vers les stands sans prêter attention à la jeune femme rester immobile sur la colline, je ne vois pas qu'elle se laisse choir, qu'elle se laisse aller à sa tristesse et à sa déception, je ne vois pas non plus qu'elle enroule ses bras autour de ses jambes et ramène ses genoux contre sa poitrine, je continue de marcher, chassant autant que je le peux l'image de son visage de mes pensées. Je passe sous la tonnelle abritant les motos. « prêt Stoy ? » me demande David, un de mes amis et mécaniciens. J'acquiesce mais malgré mes efforts ma tête est ailleurs, sur cette colline, auprès de mon irlandaise. J'attrape une bière dans la glacière et monte dans la caravane, me laissant lourdement tomber sur un siège. Le regard rivé vers le sol, légèrement tremblant, j'aperçois mon avant bras découvert sur lequel sont encore inscrit, et à jamais, des vestiges de mon adolescence, des traces de chutes, le moteur qui explose, et mon bras qui s'enflamme, des mois de convalescence pour en récupérer toute la mobilité, mon addiction naissante aux médicaments, puis ma rencontre avec Saoirse qui a freiné ma chute mais qui n'est jamais parvenu à me faire arrêter les courses. Je jette des coups d'œil furtifs aux murs et aux meubles usés par les années de cette vieille remorque, ma guitare trône sur une des banquettes, n'attendant que mes instants de calme pour être utilisée. Elle aussi est abîmée, griffée, rayée, un de ses fils est rattaché sommairement au manche et sa caisse est par endroit couverte d'un autocollant récupéré quelque part sur les routes de mes compétitions, elle résonne un peu trop et le do fait un bruit étrange que je n'ai jamais pu changer, mais elle est imprimée de souvenirs, de mes mélodies griffonnées au hasard d'un soir de défaite, mélodies que l'on peut trouver dans le tiroir au sol, rempli de mes textes et de mes idées, parsemé de rêves et d'utopies, seul lieu à contenir ma foi en la condition humaine, coffre secret de mes chimères où l'amour est maître car qu'il est la figure de proue de mes nuits d'inspirations. « Trent, départ dans cinq minutes. » « j'arrive. » je me lève, boit ma bière d'une traite et enfile mon équipement, saisit mon casque et rejoint la ligne de de départ, où on m'attend déjà. « où est Saoirse ? elle est toujours au stand avant qu'on démarre. » « rien à battre, elle est assez grande pour foutre le camp quand ça lui chante. » que je dis d'un son sec. Il n'insiste pas, sait que mes nerfs peuvent rapidement s'embraser et que je n'hésiterai pas à m'en prendre à lui si il est au mauvais endroit au mauvais moment. Je m'installe sur la selle, écoute les dernières recommandations concernant le terrain et m'avance sur la ligne. Le bruit des moteurs, le vrombissement de l'accélérateur, le sang qui bat contre mes tempes, l'instant fragile avant la poussée d'adrénaline, les feux qui s'éteignent et la lancée, rapide, dangereuse, incroyable. Les tours qui s'enchaînent et les dépassements, les figures esquissées par manque de temps, les sauts, l'instable vitesse, les tremblements, la chute, le violent contact de la terre contre mon épaule, les motos qui passent au dessus de ma tête, ma vue qui se trouble, le temps de passer au dessus des barrières de sécurité, dernier shoot d'adrénaline puis les ténèbres.

« comment ça sa petite amie ? » « oui, sa petite amie ! bon sang je n'ose pas lui dire. » j'ouvre péniblement les yeux, la lumière est aveuglante mais les voix, bien que semblant l'écho d'une lointaine vallée sont très claires. Pourquoi sont-ils entrain de parler de ma copine ? elle est venue, après ce que je lui ai fait, surement pour me dire qu'elle avait raison et que je finirais pas re-chuter et en reprendre plein la tronche. Je tente de me redresser. « mh, Saoirse ? » que je dis avec une voix faible, comme venant d'outre-tombe. Je grimace en m'asseyant et le docteur s'approche de moi en hâte. « ne bougez pas monsieur Stoyanovich, vous avez fait une très mauvaise chute. » « sans blague. » il me demande comment je me sens mais je ne lui réponds pas, comment veut-il que je me sente, je pète la forme c'est évident ? J'apostrophe David qui compte filer en douce. « Dave. c'est quoi le rapport avec Saoirse ? » il se retourne vers moi, les yeux noyés de larmes, les traits tirés, le visage décomposé. « elle est arrivée ici quelques heures avant toi Trent... elle a eu un accident de voiture sur la route de Denver et... » il se mord les lèvres, je sais ce qu'il va me dire, je sais ce qui s'est passé, son attitude ne trompe pas. Je sens déjà ma gorge qui se sert et la culpabilité qui s'empare de mon être. « je suis désolé Trent, et elle était, elle était... » « ... enceinte. » dis-je à voix basse, presque pour moi-même. « et c'est à cause de ça qu'elle est partie, parce que je lui ai dit que j'en voulais pas. » je lève le regard sur l'expression à la fois scandalisée et désolée de mon ami. Sauf que je ne veux pas de sa pitié, ni de celle de personne d'autre. Je veux sortir de ce lit, de ce foutu hôpital qui empeste la mort. J’ai envie de foutre des coups dans tout ce qui se trouve autour de moi, de frapper, murs ou hommes, mais de détruire quelque chose, n’importe, détruire à en crever, à me faire mal, à en pleurer, détruire, de mes mains, comme j’ai détruit la vie de Saoirse. Foutre en l’air mes poings et mes phalanges, jusqu’au sang, jusqu’à l’os, jusqu’à en oublier de penser, à en oublier le monde et la désormais pâle froideur de la femme que j’aime. Mais vivre, vivre pour endurer chaque jour sa perte, chaque jour encaisser mes faiblesses et les sentir me vider. Pour me punir, me laisser brûler, doucement mais surement, douloureusement. Je ne bouge pas pourtant, je ne peux pas, prisonnier de mon propre corps, comme si celui-ci avait décidé de se rebeller contre son âme, comme s’il m’empêchait de faire des conneries, comme s’il… ne répondait, m’abandonnant à son tour.

Bienvenue sur TE.
Ian est déjà réservé à quelqu'un, tu peux tenter de faire ta fiche mais l'autre personne sera prioritaire, ou bien voir avec lui.
Je dirais Ben Harper.

Préviens nous lorsque tu auras choisi.

Trent Stoyanovich a écrit:

Merci.

Oh Karen

Trent Stoyanovich a écrit:

Merci
J'ai réduis mon hésitation entre Ben Harper et Jon Bon Jovi du coup.
Pour l'avatar, j'ai vu que Ian était réservé jusqu'au 9/04 donc je pensais que c'était bon, mea culpa. Je vais tenter, sait-on jamais, autrement je chercherais quelqu'un d'autre

en faite c'est la date à partir de laquelle il est réservé et non l'inverse
bienvenue sur TE Ben Harper t'es donc réservé pour cinq jours.

Trent Stoyanovich a écrit:

Réserve moi un lien Romy

Etant donné que la réservation se termine ce soir, si l'autre Ian ne se manifeste pas il sera tout à toi

l'homme vêtue d'une veste usé par le temps toqua à la porte. Trent ? Tu dois être Trent sans aucun doute. J'imagine que vu ta tête, tu ne sais pas qui je suis et pourquoi je suis là. Je vais la faire court, tu as été sélectionné pour participer à l'émission THE ENTERTAINER . Je te ferais un topo dans la voiture si tu le souhaites mais file faire tes valises on part dans cinq minutes. Si ça peut t'être utile, on part sur une île t'encombre pas trop de vêtement on est là pour faire de l'audience. Ah oui j'oubliais, tu feras partie des BLACK TREACLE.